Visite au chantier au chantier de rénovation de l'Hydroptère

Vendredi 7 novembre, plusieurs adhérent(e)s du Centre maritime de Nantes, ont eu la chance de visiter le chantier de rénovation de L’Hydroptère, imaginé par Éric Tabarly. Ce trimaran volant mythique, sauvé in extremis à Hawaï par un passionné, Gabriel Terrasse, puis rapatrié en France, renaît aujourd’hui à Nantes. Conçu dans les années 90, ce « Concorde des mers » a atteint en 2009 la vitesse impressionnante de 55,5 nœuds (103 km/h), un record mondial resté à ce jour inégalé en mer ouverte.

L’Hydroptère continue de fasciner : rêve d’ingénieurs, œuvre d’art technologique, bateau visionnaire… Il est entré dans le patrimoine français, mais a encore besoin de soutien pour renaviguer, voler et embarquer de nouvelles générations. Le bateau est actuellement en rénovation aux bords de La Loire à Bas-Chantenay. Sa remise à l’eau est prévue pour le printemps prochain.

Deux structures œuvrent à ce renouveau :

L’Hydroptère 2.0, accueillera des expérimentations techniques et scientifiques, permettra à des entreprises de communiquer en mettant leur logo dessus, et proposera des baptêmes & séminaires sur le bateau.

L’association d’intérêt général Des Voiles & Des Ailes, qui contribue à la rénovation grâce aux dons qu’elle peut recevoir en ligne (desvoilesetdesailes.org). Cela lui permettra de transmettre et de valoriser le patrimoine maritime à travers 4 missions :

• la préservation et la transmission aux jeunes,

• l’éducation scientifique dans les établissements scolaires,

• la sensibilisation à la protection de l’environnement marin

• l’inclusion sociale en permettant à des publics fragilisés (enfants malades, personnes en situation de handicap, jeunes défavorisés) d’embarquer sur L’Hydroptère.

Si vous aimez la voile, les défis fous et les navigations légendaires, l’équipe vous invite à découvrir et soutenir l’Association Des Voiles & Des Ailes ici. Et pourquoi ne  pas réserver dès aujourd’hui votre billet pour un vol ici : Une expérience qui vous fera rêver bien plus qu’un ticket pour Mars… et sûrement beaucoup moins chère.